HOCKENHEIM 2014

merci à tous ,nous partons de suite

j'ai un message de olivier qui me dit 7 secondes de moins qu'en 2013 rien a dire un moteur quand ça marche ça fait des temps   

Bordel c'est bon ça   

7 Secondes    ENORME

P..... 7 s !!!
Gare aux teutons    

IN...CROY...ABLE !!!!!!!!!!!!!!!!!ils ont mis un poisson d'avril dans le moteur, et les pilotes sont "choutés"
Olivier donnes moi des nouvelles de Joel Guillon et de sa porche ,si tu as le temps.
Roland faits chauffer l'appareil photos .

bon courage olivier

Vite !! des resultats et des photos svp !!!!!!!!!!!!!!!!!!

A l'heure où je vous passe le message notre trio doit bosser dur car il y eu un accrochage avec la 154 (plusieurs accidents me précise Olivier) mais José n'a rien et s'ils réparent c'est que c'est jouable !
La 15 est pour l'instant 3ème des seventies !
Allez les Jidé boys on vous encourage à distance !

Bien rentrés après 12 h 30 non stop. Trop fatigué pour développer. compte rendu plus tard dans la semaine. Travail en perspective sur la 154.

https://www.facebook.com/photo.php?v=767652053252746

dimanche avant la messe le ptit dej avant d'attaquer la journée

HUBERT VON HOCKENHEIM

merci roland on se croirait sur le circuit en compét.

cool encore   
pj

merci à roland et à jacky pour leur présence réellement sympathique à hockenheim.....ils nous ont gâtés , on vous en a gardé un peu pour magny

Bravo quel que soit le résultat aux Vendéenssss ! Un plateau de véhicule "fénooménal" au vu de la vidéo ! Dur peut être en terme de puissance pour José ? A priori sur la photo sur la 154 c'est une "touchette" sur l'avant gauche ? Pb de freinage tardif ? Allez José raconte nous un petit peu... Car nous sommes tous dans l'attente de comprendre !

Merci à Roland pour les belles images et on en veut d'autres s'il y en a ? Par exemple les nouvelles couleurs du camion du Team que l'on voit à peine sur une des images...

Vivement la suite et les récits de la course avec leurs anecdotes...

Encore merci pour nous faire vivre tout cela par procuration, et si la partie chassis n'a pas subi de dommages bon courage à José pour sa remise en état ! Le concernant, en liaison avec l'an dernier, il l'a eu "sa tuile" à la première, mais pour pour la suite comme l'an dernier tout va bien se passer !

Thierry

BOSCH HOCKENHEIM HISTORIC

Après quelques jours pour se remettre, voici le compte rendu du week-end.
Partis à 15 h 15 jeudi après-midi, nous avons enfin aperçu les tribunes du circuit à 4 h 00 vendredi matin. C’est toujours impressionnant d’arriver de nuit aux portes de ce circuit. Après 3 h de sommeil, histoire de reprendre quelques forces, nous accédons aux paddocks  pour nous installer. Les premiers essais ont lieu à 10 h 30. Nous déchargeons les 2 Jidé, avalons un petit déjeuner express et fonçons aux administratifs. Même si nous ne parlons pas l’Allemand, nous sommes toujours très bien reçus  avec cadeaux  de bienvenue (polo Bosch hockenheim historic…).
Les autos sont prêtes, nous contrôlons les pressions des pneus  et Hubert et José s’élancent pour la première session. José qui découvre le circuit tourne déjà  en dessous de nos temps de qualifs de 2013. Hubert, qui n’a pas roulé depuis l’année dernière contrairement à José et moi,  assure tranquillement pour retrouver ses marques. Il faut s’habituer au nouveau comportement de la 15 avec son nouveau moteur. La session se termine, la 15 et la 154 fonctionnent à merveille.
Retour au paddock pour préparer la session de qualifs de 14 h 00. Pression, niveaux, nous avons un peu de temps devant nous pour nous détendre enfin.
A 13 h 45, nous rejoignons la pré-grille. Il y a 51 engagés, ça fait du monde. Porsche 935, BMW M1 Procar, Carrera RSR, 964 RSR, M3 E30, Ford GT40,  Camaro… La concurrence est rude.
Après 2 tours de chauffe, je commence à attaquer. Avec les petits pneus arrières, la Jidé a tendance à glisser mais se contrôle assez facilement. 2 ou 3 alertes  en 5 dans le droite au bout de la ligne des stands me rappellent qu’à droite, il y a un mur. Il vaut mieux garder un peu de réserve à cet endroit. Au bout de quelques tours, je me retrouve avec une M3 E30 groupe A pilotée par un Hollandais qui va très vite. Je m’en sers de liêvre et j’effectue deux tours derrière lui. Il connaît le circuit par cœur et ses trajectoires sont hyper affutées. A la fin du deuxième tour, je suis un peu trop optimiste à l’entrée du double droit avant le stands et pars en tête à queue. Je repasse par les stands et laisse le volant à Hubert qui termine la session. José a amélioré de 4 secondes par rapport aux essais du matin et se classe 4ème des seventies. Je termine 2ème des seventies derrière l’intouchable PORSCHE 911 RS de Christophe TERRIOU, 5 secondes plus vite que José.  Avec son petit moteur, c’est une belle perf, une Jidé bien montée avec  150 CV et du couple, ça marche fort ! Il sera redoutable lorsque le nouveau moteur sera monté.
(la suite demain)

bbbbuuuunnnnn oui la suite !!!!!!   

oui la suite, tu nous fais languir.....................

Ce soir, entre le classement du SALOON CAR, le boulot, récupérer du week-end... dernier !   

La suite :

Samedi, la course 1 a lieu à 17 h 00, nous avons donc toute la journée pour profiter des plateaux et peaufiner les autos. Toujours le même rituel : pression, niveaux, carburation…
A 16 h 45, nous rejoignons la pré-grille. Alors que nous patientons, arrivent Roland et son copain Jacky, venus nous soutenir pour le week-end ! Ils ont même emmener la tente pour vivre au cœur de l’action.
Nous entrons enfin sur le circuit pour le tour de formation. Je suis bien entouré sur la grille : la BMW de Franck, la R5 turbo de Vincent, une 944 turbo cup, quelques lignes derrière, la lotus de Jean-Michel, La sunbeam lotus d’Anita…bref, le départ va être chaud. Ici, on peut doubler dès que le feu passe au vert (règlement FIA) alors qu’en France, on double après la ligne (règlement FFSA). Comme nous sommes 51 sur la grille, c’est important de le savoir car avec la configuration du circuit, double virage à droite avant la ligne de départ, seuls les premiers voient les feux, mais derrière, on voit bien le moment où les premiers entament la ligne droite. A ce moment là, on peut augmenter la cadence et doubler dans le double droit pour bénéficier de l’élan dans la ligne droite des stands et être devant au premier freinage.
Je parviens à maintenir ma position. En arrivant en bas de la parabolique, au freinage de l’épingle, l’endroit le plus rapide du circuit, les drapeaux jaunes s’agitent déjà. Notre compatriote Jean-Charles sur sa Porsche 944 T CUP a tiré tout droit au freinage et percuté une Porsche 964 en plein travers. J’en profite pour me faufiler et prendre le large. Je remonte au contact d’une BMW M1 Procar (et oui, même avec une grosse auto, un manche reste un manche). Le problème, c’est qu’en ligne droite il me dépose littéralement mais en virage, j’ai l’impression d’être à l’arrêt derrière lui. Derrière, mes adversaires Français en profitent pour remonter. Nous restons en bagarre plusieurs tours avant qu’au freinage de l’épingle, je ne parvienne à croiser sa trajectoire pour ressortir mieux et ré-accélérer plus tôt. Nous arrivons sur un virage à droite qui passe presque à fond de 4 (à fond bien motivé) pour un gros freinage avant une équerre à gauche qui passe normalement en 3 en mangeant les vibreurs et en utilisant toute la largeur de la piste. Je me place à l’intérieur pour le contraindre à ralentir et conserver l’avantage Le pilote de la M1, un peu vexé de se faire chatouiller par une petite bleue me coupe littéralement la trajectoire. J’écrase les freins et parviens à l’éviter. Dans l’action, j’oublie de remettre la 2 pour relancer et j’engorge un peu le moteur. Anita en profite pour passer et la R5 turbo, la lotus et la cox remontent à ma hauteur. Je ne lâche rien et nous arrivons dans le stadium. Je suis en bagarre, et aborde le droite au bout de la ligne droite des stands en 5, la 5 turbo est à me trousses, j’arrive trop fort, ça ne passera pas. Heureusement à cet endroit, il y a un large dégagement. Je sors très large et cherche un endroit pour reprendre la piste sans sauter le vibreur. Je vise une pointe de moquette entre la fin du vibreur et le gazon. Nous sommes cote à cote avec la R5 pour le freinage de la première épingle. Je suis à l’extérieur donc mal placé. La R5 me passe et nous attaquons la parabolique. J’ai plus de vitesse de pointe que lui. Je le repasse à droite et le pique au freinage. Je rattrape à nouveau la M1 qui me gêne à nouveau. La lotus et la cox remontent et passent la R5, nous sommes en bagarre à 4, dans la parabolique, nous rattrapons une Trabant (qui finira plus tard sur le toit). Nous passons à 4 de front, c’est très chaud. Dans le tour suivant, la lotus et la cox me doublent sous drapeau jaune (elles ne seront pas sanctionnées). Nous arrivons dans le stadium, j’attaque pour reprendre ma place. Au freinage, je suis sur des œufs, la piste est arrosée d’huile suite à la casse moteur de la Grac MT14S. Le safety car entre en piste pendant 5 tours. A la relance, je me fais doubler par une camaro qui accélère en ligne droite et s’arrête en virage. Je recommence le même manège qu’avec la M1 avant de réussir à m’en débarrasser au freinage en bas de la parabolique. Je remonte alors la cox, il reste 1 tour, l’huile dans le stadium m’empêche de doubler au freinage, nous abordons le double droit cote à cote, je me place pour ré-accélérer tôt mais le 2.4 L de la cox accélère légèrement plus fort et passe la ligne 1/ 10ème de seconde devant moi.
Je termine donc 3ème des seventies, 8ème français et 24ème scratch.
Retour au paddock, la 154 porte les traces d’une lutte acharnée avec une 944 turbo cup qui s’est mise en travers devant José sur un freinage.

Dimanche, course 2, Super départ d'hubert qui passe la lotus, la cox, la 944 turbo cup et la 5 turbo dès le premier tour et prend une belle avance et revient sur la sunbeam lotus d'Anita. Hubert attaque fort et consolide sa position, se permettant ainsi d'assurer dans les endroits plus piégeux du circuit. Devant, la ROVER 3500 V8 pulvérise de l'huile partout sur la piste. A la sortie du stadium Hubert passe dans la trainée d'huile et part en travers. La jidé raccroche et effectue un 360°. Le moteur engorge un peu et le temps de repartir,  les adversaires sont repassés. Les pneus sont imprégnés d'huile et Hubert ne pourra pas remonter sur ses adversaires. Hubert termine 4ème des 70's, José 5ème.

Voila un week-end qui aura été riche en événements (comme le mien, enfin, surtout le dimanche).

Bravo pour vos résultats      

Merci à Roland pour tes photos      

Et courage à José pour soigner la 154, je sais qu'il en a et que nous reverrons rapidement la belle au top.

Vivement les classics-days